Depuis plusieurs années maintenant, Emil, âgé de 21 ans, travaille des techniques pour mieux contrôler son bégaiement.
Et surtout dompter ses peurs.
Emil travaille les techniques pour mieux contrôler son bégaiement. ©Bernard Demoulin
La Libre
Laurence Dardenne Journaliste Santé, Bien-être/beauté
Les mots sortent parfois difficilement mais, dès qu’ils sont exprimés, on sent chez le jeune homme un enthousiasme débordant. “C’est une excellente idée. Je suis très p…, p… partant”, nous dit au téléphone Emil, jeune franco (de père)-danois (de mère) de 21 ans, en Belgique depuis septembre dernier dans le cadre d’un projet de volontariat avec le Corps européen de solidarité.
“S’il y a une chose que les personnes bègues fuient par-dessus tout, c’est bien parler en public et a fortiori de leur handicap, nous avait dit Véronique Stuyvaert, secrétaire de l’Association Parole Bégaiement Belgique asbl. "En général, ils préfèrent se cacher et sont très frileux à l’idée de se trouver face à un micro ou une caméra. Pour eux, c’est la pire des choses qu’on puisse leur infliger”. Pas pour Emil. “Lui, au contraire, il semble plutôt avoir envie d’en parler”, avait-elle ajouté, avant de nous confier ses coordonnées...
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